Confucius disait : « On a deux vies, et la deuxième commence quand on se rend compte qu’on n’en a qu’une. »  Je sais, en commençant avec cette citation du défenseur central de l’équipe du Brésil de 1971, je perds tous ceux qui vont passer la journée à se demander : « Mais, on n’en a qu’une… de quoi ? »

Pas grave, c’est de la troisième dont je veux vous parler dans ce petit billet d’intro. Celle qui, pour moi, a commencé lorsqu’on s’est fait virer du Royaume Uni par une poigné de nationalistes excités. Le terme « virer » est surement un peu fort. Nos amis anglais ont juste décidé de refaire la déco de leur pays à neuf. Mais ce petit côté retro, ce blanc délavé et ce nouveau home-sweet-home-mais-pas-pour-toi-Monsieur-Johnny-Foreigner, nous a moins plus. On est donc parti retrouver notre douce France, décidé à commencer une troisième vie (attention cette dernière ligne contient un indice pour tous ceux qui seraient encore coincés sur la question plus haut).

Et tant qu’à repartir à zéro, autant repartir de zéro (cette citation est de moi et pourtant je ne suis pas footballeur) et faire ce qu’on a toujours rêver de faire, mais qu’on ne faisait pas, parce qu’il fallait passer son bac d’abord, finir ses études ensuite et démarrer une carrière brillante de gagnant qui réussit enfin. Merci Boris… Johnson, pour ceux qui n’auraient pas les mêmes accointances que moi, grâce à toi et la victoire de l’Angleterre rancie, je me vois aujourd’hui franchir le Rubicon et démarrer ce blog.

Et comme je suis quelqu’un d’ambitieux, ce blog vise à faire…